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Hervé Mosquit
Ach l'amour, touchours l'amour. Eh bien oui, quoi de plus important sinon la vie....
Aydan
Comme chantait si bien Ferré : Avec le temps, avec le temps va tout s'en va...
Eloïz
Il ne reste alors plus que moi, maman et la pleine lune sur la plage.
OscarMB65
à tous ceux qui sont partis trop tôt... le combat continu.. jour après jour...
Daniel Bovigny
Une lettre d'amour qui franchit la ligne de séparation entre ciel et terre, entre aimé et aimée, entre vie et mort...
Mouche
Quand une chute dans une crevasse permet de réunir deux êtres séparés depuis plus de 70 ans...
Mouche
Il marchait de son pas hésitant, rouillé, les yeux tendus vers l’avant, vers l’avenir. Peu à peu, son corps s’était flétri, il était pâlot, chauve et plus petit. Mais il marchait. Toujours. Chaque matin, il allait retrouver celle qu’il aimait.
Mouche
Quand le désir érotique se fait poésie…
Eden
Le séjour de Mathieu avec ses amis sera perturbé par une découverte. Jacques l’observe, curieux, inquiet.
Gin tonic
Il est là. Tous les mercredis. Qu’il pleuve ou qu’il vente, il est fidèle à son poste. Lui, c’est le punk du marché de Plainpalais. Enfin, c’est ainsi que je l’appelle. Sa camionnette jaunâtre, usée, ses objets de bric et de broc et surtout sa crête, son kilt, ses grosses bottes noires.
André Birse
Début (donc essai) de chronique soi-disant culturelle
Suzy Dryden
Toute une année écoulée côte à côte à New York. Des disques bien vendus, des prises de vue à Central Park, le métro pris tous les jours et la signalisation « Walk. Don’t Walk » qui scande les feux de la Big Apple encore dans leur tête.
Isadora
« apprends moi à aimer »
Hélène Page (également Helen de Búrca)
Des vacances pas si reposantes…
Hélène Page (également Helen de Búrca)
Les fleurs du mal?
Jacques Defondval
Mais qui sont ces personnes qui vivent leur vie virtuelle dans “Second Life”? Existe-t-il un lien avec la vie réelle?
spin
“Quand le bonheur en passant vous fait signe et s’arrête, il faut lui prendre la main sans attendre à demain. L’amour est un bouquet de violettes.” - chanson de Luis Mariano, composée par Francis Lopez en 1952.
Stéphanie de Roguin
Claquer la porte un jour, pour aller voir le vaste monde. Quand on a toujours vécu sous un chapiteau, le dehors déploie d'un coup ses mille odeurs...
Aydan
Triste vérité, désir d’espérance. Voici le miroir tel un chemin, tel un passage qui mène de l’amertume au bonheur. Les deux se confondent à force. Où se trouve la réalité ?
Scribaland
La Princesse et son Comte