Sommeil féérique, pénombre magique, instant suspendu.
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Tes lèvres étaient si roses,
Que j’y ai vu pousser une fleur,
Tu dormais paisible, ô bonheur !
Mon silence disait tant de choses.
Je jouais de la mandoline,
Sur tes longs cheveux dorés,
Puis sur ton dos dénudé,
De la harpe sur ta peau fine.
Dieu comme tu étais belle !
Ainsi, douce et blottie,
Quand tu t’étais endormie,
Ma nuit fût éternelle.
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