Dans les trains de nuits… un jour peut-être, qui sait ?
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De ces illusions perdues

Ou les désillusions perdurent

Je sens grandir en moi ce dur

Le vide, d’une chambre sans vue

Et finis de croire

Qu’à chaque fois

Mes trains de nuits

Semblent naître

À défaut d’être

Des trains d’ennuis

D’un je ne sais qui ?

Là … je m’impressionne

Sur papier carbone

Un double, comme personne

Là, je m’impressionne

Sur papier carbone

Une foule, sans personne

Et… j’en rigole

Je… démissionne

… de ma personne

De ces certitudes futiles

Aux  incertitudes de l’aube

Je m’oxygène de l’inutile

Livide, mon corps de fautes

Et je feins de voir

Qu’à chaque fois

Mes trains de nuits

Semblent naître

À défaut d’être

Des trains d’ennuis

D’un seul vol de vie !

 

Là … je m’impressionne

Sur papier carbone

Un double, comme personne

Là, je m’impressionne

Sur papier carbone

Une foule, sans personne

Et… j’en rigole

Je… démissionne

… de ma personne

Et … j’en rigole

Je… démissionne

… de ma personne

OscarMB65 @copyright 8 août 2022