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Press Story

Voici l’histoire d’une famille particulière. Albert Figaro, le mari, est originaire de l’Ouest-France.

Il est devenu en très peu de temps le Parisien, le plus en vogue du moment.

Il a emménagé à Paris, après son mariage avec Madame Figaro et leurs triplés, Isa, Marie-France et Marianne.

Elles sont jeunes et jolies et elles ont 20 ans.

Malgré cet emménagement, le couple conservait leur résidence secondaire où il passait encore le week-end.

Il y régnait une atmosphère chaleureuse et la décoration de cette maison était très contemporaine.

Monsieur Figaro, Albert, était au top-santé car il faisait un Maxi de sport pour se maintenir en forme.

Il gardait toujours sur lui une photo de sa femme Marie- Claire sur lui ainsi que celle de ses enfants.

Il fréquentait, de temps en temps, un cercle d’amis très Cosmopolitain avec lequel il refaisait le Monde et auprès duquel il racontait la vie et les avantages de son Union.

Albert Figaro adorait lire les bandes dessinées et l’humanité après chaque déjeuner.

Quant à sa femme, Marie-Claire, c’était une femme actuelle et très Glamour.

Ce matin, elle s’apprêtait à vivre une de ces journées extraordinaires qu’elle appréhendait quelque peu.

Après avoir déposé ses trois filles à l’université, elle alla chez son coiffeur-visagiste préféré.

Ce dernier était connu pour ses coiffures à la fois raffinées et extravagantes.

Il la coiffait depuis longtemps et elle s’en remettait à ses mains expertes.

Pendant qu’elle profitait des bienfaits d’un shampooing, elle pensait à la première d’un film auquel elle devait se rendre.

Ensuite, elle devait s’entretenir avec un journaliste de renom.

C’est une entrevue qu’elle redoute même si elle l’a préparée depuis des semaines.

C’est une rencontre au cours de laquelle, elle aurait l’occasion de faire le point sur sa vie, ses choix de carrière.

Ce serait une exploration expresse de sa vie privée qui la stressait un peu.

Pour se donner de la contenance, elle se dit qu’après tout, elle ressentirait peut-être une certaine Libération, car finalement, parler de soi, cela pouvait être Capital pour libérer ses angoisses.

Elle décida de plutôt penser au fameux Gala annuel qui allait suivre et ainsi qu’à son buffet succulent.

Ah, la cuisine!

C’est une question de femme, pensez-vous assurément, c’est un des éléments des psychologies classiques pour apaiser ses craintes.

Mais avait-elle vraiment besoin de cela?

N’avait-elle pas su construire sa vie sociale avec doigté et s’investir dans sa vie de couple avec ténacité?

Elle était une battante et sa Santé était au meilleur niveau et puis, son mari sera présent à ses côtés.

Albert, lui, ne redoutait rien.

Il avait plus d’assurance et donnait souvent son Point de vue.

N’avait-il pas coutume de dire à sa femme qu’”à Nous deux nous formons l’Équipe la plus merveilleuse!”