on le dit...
Reprendre la lecture

Alors Shakespeare…

dans l’infini de la nuit

mes délits d’insolence je suis…

là je laisse le masque tomber

le corps fébrile insoupçonné

aux lois charnelles verticales

je vous préfère l’horizontale

et si ce soir sont vos désir

je peux bander mes yeux de cuir

-faux ! que j’oublie…

-l’abîme ennui…

 

Alors Shakespeare le Baudelaire

mes Roméo mis à terre

à vous les Charles les William

je vous déclare mon âme

Alors Shakespeare le Baudelaire

par ici ou par derrière ?

je vous déclare mon âme

affame…

 

 

Alors Shakespeare

de ces vapeurs d’alcool

je dans mes murmures cogne

de guerre lasse fanées les fleurs

à vos mâles forts torturés

mais si j’abuse restez perplexe

m’amuse de bondages latex !

et de ces foires naissent vos vertiges

je peux poser sur ma bouche l’égérie…

-faux ! que j’oublie…

-l’abîme ennui…

 

Alors Shakespeare le Baudelaire

mes Roméo mis à terre

à vous les Charles les William

je vous déclare mon âme

Alors Shakespeare le Baudelaire

par ici ou par derrière ?

je vous déclare mon âme

affame…

 

affame…l’oubli

affame…l’ennui

affame…la nuit

affame…sans vie

-faux ! que j’oublie

-faux ! que j’oublie

 

Alors Shakespeare le Baudelaire

mes Roméo mis à terre

à vous les Charles les William

je vous déclare mon âme

Alors Shakespeare le Baudelaire

par ici ou par derrière ?

je vous déclare mon âme

affame…