Créé le: 21.11.2019, édité le: 28.11.2019
Je n’utilise que du papier rose qui métamorphose toute étendue de ma prose dévérsée sur le prés banquaire fleuri, qu’il appartient à la banque peu importe puisqu’il m’émue me fait vivre m’introduit dans les bras de Casiopée, n’étant pas sa fille je peux m’y prélasser car elle est tenue de s’améliorer dans sa tenue de soirée RSVP
Ce que je dis est valable jusqu’à minuit après il faut recommencer je me comporte à l’instar des amnésiques qui chaque jours renaissent à nouveau car la nuit de sommeil établie une sorte d’écran dissimulant les faits alors que l’on connaît: qui où quelle clé…on cottoye les mêmes personnes depuis l’éternité…toujours sur le même quai travaillant les leçons disloquées….
jamais je ne pronancerai mes voeux de bonheur de candeur de vie jamais tu ne m’auras acquis mis dans une boîte rose avec des poses…je veux peindre l’ inaccessible preuve d’amour je veux feindre le malheur pour prouver à ton impossible coeur qu’il a tort de m’aimer de m’épousstoufler d’anihiler mes filtres de cuisiner des tonnes de repas solides bons pour la santé…copieux
Ta place est à mes pieds à lécher les carrés les dalles en pierre jamais je ne m’engagerai sur le simple fait de t’aimer plutôt te porter préjudice comme une hélice qui fait le tour autour de la tour d’ivoire sans prix étant une espèce protégée privilégiée de par sa naissance dans une fragrance enneigée je luis je réfléchie…ce qui ne fléchie ce qui allourdie mes côtes sans que les despôtes s’y mêlent
Créé le: 21.11.2019, édité le: 21.11.2019
Je regrde dans la glace pour me rémonter le moral quand je regarde dans mes yeux je vois ce que je crus perdu mais cela ne dure la lutte forcenée m’amena jusque là et voilà que les dieux décidèrent que le flux dérobe ma robe que je dus donner à nettoyer et multiplier les frais de la paix de l’âme qui prit le tram sans moi blessée aux genoux je ne pus courir pour l’attraper je ne veux être un sous-produit sous traîtée sous-louée polluée par les pesticides je dois à tout prix me cacher me réserver au frais pour l’année fatidique la fosse scéptique nettoyée je me relève choyée par le vent le soleil et la pluie on ne m’oublie plus je suis l’enfant du siècle dernier née un jour férié de la semaine de 8 jours mais la semaine de 7 s’instala et c’est pour cela que l’on m’oublia dans le tas du foin personne ne s’en préoccupa et le destin se dessina de lui-même amener à clouer le bec à l’oiseau de malheur je dus me résoudre à feindre le coût de ma tenue retenue en priorité par les sponsors de la qualité d’abord ils me disent que je sois faible sortie du côte d’un hôte qui se donne les droits de diriger ensuite il vient manger chez moi se nourir de mes vivres comme des convives sans le reconnaître car je suis la propriété de l’homme je dois lui obéïr lui servir ma vie dépend de lui de son bon vouloir sans lui je ne suis je péris
Créé le: 21.11.2019, édité le: 21.11.2019
Je suis prêt aux aguet à l’affût de la raie qui vient de passer sous le bâteau je voulais la pécher l’amadouer d’abord l’apprivoiser ensuite avant la frite avant la cuite de samedi soir sans la fièvre elle m’échappa et il ne me resta que la peau de serpent entre mes mains
Je suis pour et même contre chaque fois quand je veux traverser la rue étant gauchère et familière avec la routine de mes allée -retours je me vois dans l’obscure idée de fraude issus de la Reine-Claude de jardin de mes parents douce et juteuse écoeurante jusqu’à se montrer méfiante et creuse à cause de la pelouse mal coupée ne voyons de profit à ce que l’agent dit je prends du verglas pour le cristal et je m’installe dans une aptitude de similitude versatile et mobile allant de soi vers les glands sudoripares minimaliste trotskistes…après je me retrouve contre le mur pas le dos mais le visage je bois ma sueur sans candeur et tombe dans les pommes l’histoire de piquer une somme me réveillant 1000 ans après essoufflée et sans argent pour vivre l’inflation me doit beaucoup car la valeur de mes sous contrarie les otaries en Arctique l’argent n’a aucune valeur dans ce monde ce n’est qu’un monnaie d’échange
Créé le: 21.11.2019, édité le: 26.11.2019
Jugez-vous à partir des apparences?
-Bien sûr dit le mur. Voilà les couleurs que je préfère…
-Le rouge le noir le violet? êtes-vous poète?
-Non l’ esthète…l’esthétique étique me met en attique je me penche avec nonchalance vers l’interdit objet de mon désir: le plancher…
Il glissa sur le beurre le malfaiteur en se tuant sur place quel malheur !
une flaque de sang en forme d’une fleur s’étendit autour de voleur
et mon coeur s’arrêta l’instant d’un bailleur pour repartir comme un coureur
derrière un nouveau passe-temps
En déuil sans raison trahie au coeur même de la vie
mon chant raisonne comme un hymne à la haine subie
alors que l’amour comme doux bruit de la pluie la terre nourrit
je ne suis capable de l’inouie effort de l’oubli…
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